lundi 5 février 2018

    Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en                  février 2018 (services presse).



Changer l'eau des fleurs de Valérie Perrin, Editions Albin Michel, 460 pages.

Résumé:
Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l’on croyait noires, se révèlent lumineuses. Après l’émotion et le succès des Oubliés du dimanche, Valérie Perrin nous fait partager l’histoire intense d’une femme qui, malgré les épreuves, croit obstinément au bonheur. Avec ce talent si rare de rendre l’ordinaire exceptionnel, Valérie Perrin crée autour de cette fée du quotidien un monde plein de poésie et d’humanité. Un hymne au merveilleux des choses simples





Le goût sucré des souvenirs de Beate Teresa Hanika, Editions Les Escales, 262 pages. En librairie le 15 février 2018.

Résumé:
Elisabetta Shapiro, 80 ans, vit seule dans sa maison familiale au coeur de Vienne. De son enfance, elle a conservé des dizaines de pots de confiture d'abricot, tous confectionnés avec sa mère. Véritable madeleine de Proust, la confiture sucrée la replonge immanquablement dans son passé de jeune fille juive dans la Vienne nazie : son quotidien d'abord faste et luxueux, ses grandes soeurs qu'elles jalousaient secrètement, la voix de sa mère lorsque celle-ci chantait. Et puis l'arrestation de toute sa famille par les SS, la solitude et la perte de repères. Quand Pola, une jeune danseuse, emménage chez la vieille dame, ses habitudes sont chamboulées. D'autant plus que Pola lutte, elle aussi, contre ses propres démons. Malgré leurs différences, les deux femmes vont peu à peu se rapprocher et nouer des liens plus forts qu'elles ne l'auraient imaginé.



Là où la vie t'emmène... de Alban Gallée, Editions City, 272 pages. En librairie depuis le 31 janvier 2018.

Résumé:
À tout juste trente ans, Rose s’est enfermée dans une vie terriblement routinière, et elle sent la vie lui filer entre les doigts. Rose rêverait de pouvoir tout quitter et tout recommencer. Loin du métro parisien, du boulot et des habitudes qui l’emprisonnent.Un jour, sa mère l’inscrit à un concours et, miracle, elle gagne le gros lot : six mois offerts sur une île en Australie. Rose n’hésite pas longtemps, elle va enfin réaliser son rêve. Vivre différemment, ailleurs.A l’autre bout du monde, elle rencontre des personnages excentriques qui la poussent à se remettre en question. Au fil de ses aventures, entre rires et larmes, elle repart à la conquête du bonheur. Et sa vie en est transformée à tout jamais… Enfin recommencer à vivre.Une comédie tendre et savoureuse.




Le jardin de l'oubli de Clarisse Sabard, Editions Charleston, 427 pages. En librairie depuis le 13 février 2018.

Résumé:
1910. La jeune Agathe, repasseuse, fait la connaissance de la Belle Otero, célèbre danseuse, dans la villa dans laquelle elle est employée. Une rencontre qui va bouleverser sa vie, deux destins liés à jamais par le poids d'un secret.

Un siècle plus tard, Faustine, journaliste qui se remet tout juste d'une dépression, se rend dans l'arrière-pays niçois afin d'écrire un article sur la Belle Époque. Sa grand-tante va lui révéler l'histoire d'Agathe, leur aïeule hors du commun. En plongeant dans les secrets de sa famille, la jeune femme va remettre en question son avenir.


Un intrus de Charles Beaumont, Editions Belfond, 448 pages. En librairie le 15 février 2018.

Résumé:
Parue en 1959 aux États-Unis et en 1960 en France, adaptée au cinéma par Roger Corman, une analyse aussi virtuose que glaçante de la montée du populisme pour un Vintage noir choc, qui n'a malheureusement pas perdu une once de son actualité. La petite ville sudiste de Caxton est déboussolée : l'arrêt de la Cour suprême vient de tomber ; désormais, les écoles publiques sont ouvertes aux enfants noirs. On s'étonne, on s'agace, et puis finalement on laisse faire. Jusqu'à l'arrivée d'un intrus. L'inconnu s'installe, intrigue, séduit, et petit à petit distille le poison : des Noirs ? Avec vos enfants chéris ? Vous n'y pensez pas ! Alors on s'invective, on rugit, on brandit le poing. Et puis montent la fureur, la haine, le sang...



L'enfant et le dictateur de Marion Le Roy Dagen et Xavier-Marie Bonnot, Editions Belfond, 222 pages. En librairie le 15 février 2018.

Résumé:
" Si vous ne pouvez pas vous occuper de vos enfants, l'État s'en chargera. " La devise du régime de Ceausescu a envoyé des milliers d'enfants dans des mouroirs. Marion était l'un d'eux. 1989. En pleine révolution roumaine, les télévisions du monde entier révèlent la face la plus noire de l'univers concentrationnaire du régime communiste de Nicolae Ceausescu. Un choc. Devant les caméras, des enfants se balancent, hagards, derrière les barreaux de leurs lits crasseux. Les plus malades sont aux portes de la mort. Marion est née de cette dictature. Abandonnée par sa mère alors qu'elle n'a pas encore un an, elle est placée dans un orphelinat de Ceausescu. Car le dictateur interdit l'avortement, réprime la contraception et force les naissances. Son but : peupler son pays au forceps d'une politique nataliste redoutable dont la formule " Si vous ne pouvez pas vous occuper de vos enfants, l'État s'en chargera " en dit long sur ses intentions. Cette histoire est celle de Marion. Une quête d'identité, une recherche de soi après une enfance amputée. Adoptée à l'âge de six ans par un couple de Français, Marion n'a eu de cesse de retrouver ses parents biologiques et de se reconstruire. Naître à nouveau, comprendre la perversion d'un régime totalitaire et s'ouvrir au drame de ces dizaines de milliers d'enfants sacrifiés sur l'autel de la dernière des dictatures de la guerre froide.


L'île des secrets de Patricia Wilson, Editions City, 464 pages. En librairie depuis le 10 janvier 21018.

Résumé:
Du soleil et des oliviers, un village de carte postale... c’est magnifique. Mais Angelika n’est pas venue en Crète en touriste. La jeune femme veut découvrir l’histoire de sa famille dans ce pays où sa mère a grandi avant de partir définitivement en Angleterre. Pourquoi sa mère a-t-elle si violemment tiré un trait sur ce passé et refuse-t-elle d’en parler ? Une douloureuse découverte attend Angelika lorsqu’elle frappe à la porte de sa grand-mère qu’elle n’avait encore jamais rencontrée. Après des années de silence, la vieille femme ouvre son cœur et remonte le fil de ses souvenirs. Commence alors un voyage déchirant qui plonge dans l'histoire de la Crète occupée par les Nazis. Une histoire cachée révélant les heures sombres et, surtout, la force d'une femme prête à tout pour protéger ses enfants...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire